Si près, si loin, les oies blanches

Gérald Baril, Montréal, Les éditions XYZ, 2020.

Dans une langue aussi belle que précise, Gérald Baril nous emmène à la rencontre des
oies blanches et du monde que nous partageons avec elles.
Normand Baillargeon, Les Libraires, no 121, 2020, p. 83.
https://revue.leslibraires.ca/chroniques/essai/des-oies-et-notre-sous-surveillance/

… dans la trajectoire de ces oiseaux grégaires, il voit aujourd’hui un idéal de poésie,
d’appartenance et de liberté.
Christian Desmeules, Le Devoir, 8-9 août 2020, cahier D, p. 15.
https://www.ledevoir.com/lire/583708/essais-quebecois-au-fil-de-la-plume

Le récit est très bien écrit et fourmille de détails, de liens, d’imprévus. Gérald Baril est
érudit, et plusieurs historiens, écrivains, poètes, chanteurs, peintres, etc. apparaissent au
fil de son texte.
Gaétan Duquette, Québec Oiseaux, automne 2020, p. 45.

Cet essai de Gérald Baril est une vraie petite merveille.
Geneviève, blogue Mon coussin de lecture, 10 août 2020.
https://moncoussindelecture.wordpress.com/2020/08/10/si-pres-si-loin-les-oies-blanches/

Quel livre magnifique […] Cet ouvrage est un baume pour l’âme par temps de pandémie.
Jacques Lanctôt, Le Journal de Montréal, Weekend, 27 juin 2020.
https://www.journaldemontreal.com/2020/06/27/des-oies-blanches-et-des-humains

… une somme dont la richesse réside dans la cohabitation des propos objectifs et
subjectifs, qu’il mélange savamment, d’une plume experte, sans jamais perdre l’intérêt
du lecteur.
François Lavallée, Nuit Blanche, no 162, printemps 2021, p. 52-53.

Un livre refuge, qui fait l’effet d’une couverture de laine bien chaude pour les jours où
l’on a besoin de douceur.
Québec Science, septembre 2020, p. 47.

… Baril illustre bien que de développer un rapport de résonance sain à la « fragile
multitude » de la nature ne peut qu’aider à faire prendre conscience de la non moins
fragile multitude humaine.
Simon Rainville, L’Aut’Journal, 9 octobre 2020.
https://lautjournal.info/20201009/la-resonance-de-la-nature